Contrôle technique moto : opération coup de poing de la FFMC à La Défense (+vidéo)

Le 20 octobre au matin, devant la Tour Séquoia à La Défense (92), la FFMC-PPC a mené une opération coup de poing pour montrer son opposition au contrôle technique moto. Au programme : banderole, fumigènes et confiture.

L’ambiance grise de l’esplanade de la Défense (92) en automne s’est faite quelque peu colorée ce matin du 20 octobre. La Fédération française des motards en colère de Paris-Petite couronne (FFMC PPC) a mené une opération coup de poing devant la Tour Séquoia, qui abrite entre autres la Délégation générale de l’Énergie et du climat (DGEC).

Voici l’action coup-de-poing en vidéo :

 


Contrôle technique moto : action coup de poing… par Moto-Magazine

Ce 20 octobre à 9 heures, les professionnels de la moto et les décideurs se réunissaient pour discuter les modalités d’application du contrôle technique moto à la revente, mesure lancéepar le Comité interministériel de la sécurité routière (CISR) du 2 octobre dernier. La FFMC a décidé de ne pas laisser cette réunion sous silence et voulait marquer le coup.

Banderole visible qui affiche clairement le message : « Non au CT moto », distribution de tracts… La FFMC terminait cette action en tartinant les pavés du parvis avec de nombreux aliments périmés (confitures, crème fraîche…) et quelques fumigènes colorés.

La FFMC sur le terrain… et sur le web

Ce même jour, la FFMC investit aussi le web avec un site dédié à la lutte contre le contrôle technique moto : www.stopcontroletechnique2rm.fr. Vous y trouverez les dernières actualités concernant le contrôle technique moto, mais aussi une pétition en ligne qui atterrira sur le bureau du ministre de l’Intérieur.

Un groupe Facebook Stopcontroletechnique2rm est également lancé ainsi qu’un hashtag #stopct2rm pour fédérer les usagers contre le contrôle technique sur les réseaux sociaux : Twitter, Facebook, etc…

Mis à disposition également, un autocollant distribué gratuitement (en l’échange d’un timbre) pour que tous puissent montrer leur opposition au projet.

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